|  Le cycle “Cinéma japonais” présenté par Arte se termine avec trois films inédits d’Itami juzo, et deux films récents de Teshigahara Hiroshi, Rikyu (1989), autre version du Destin du grand Maître de thé Rikyu, également filmé par Kumai Kei, et La Princesse Goh (Go-hime, 1992), uvre à caractère historique qui ne figure pourtant pas parmi ses meilleures: le propos s’y fige souvent dans un académisme formel qui surprend de la part de l’auteur célèbre de La femme des sables (Sunna no onna, 1963), déjà diffusé par la chaîne. Max Tessier A voir sur Arte | 

 
                

 
                                                                                             
                                                                                             
                                                                                             
                                                                                             
                                                                                            