Le 52ème Festival International du Film de Cannes, qui se tiendra du 12 au 23 mai, proposera de nouveau une importante sélection asiatique, où le Japon tiendra une bonne place. Bien sûr, le film le plus attendu est de loin le nouveau KitanoTakeshi, Kikujiro no natsu (L’été de Kikujiro ou Volume 8), en compétition pour la première fois, où le très célèbre auteur de Hana Bi se transforme en “Yakuza-Tonton” pour escorter un garçon qui cherche à rejoindre sa mère pendant les vacances d’été. Plutôt dans la ligne de A scene at the sea (Ano natsu, ichiban shizukana umi, 1991) que de Sonatine, L’été de Kikujiro est une sorte de ballade poétique et ludique qui prouve que Kitano est toujours là où on ne l’attend pas : Kitano l’imprévisible, comme dit justement le film de Jean-Pierre Limosin diffusé le 19 mai sur Arte.
C’est la première fois à Cannes que l’on trouve des films japonais dans toutes les sections : une rareté à marquer d’une pierre jaune! Soreja, Mata ! |

Le 52ème Festival International du Film de Cannes, qui se tiendra du 12 au 23 mai, proposera de nouveau une importante sélection asiatique, où le Japon tiendra une bonne place. Bien sûr, le film le plus attendu est de loin le nouveau KitanoTakeshi, Kikujiro no natsu (L’été de Kikujiro ou Volume 8), en compétition pour la première fois, où le très célèbre auteur de Hana Bi se transforme en “Yakuza-Tonton” pour escorter un garçon qui cherche à rejoindre sa mère pendant les vacances d’été. Plutôt dans la ligne de A scene at the sea (Ano natsu, ichiban shizukana umi, 1991) que de Sonatine, L’été de Kikujiro est une sorte de ballade poétique et ludique qui prouve que Kitano est toujours là où on ne l’attend pas : Kitano l’imprévisible, comme dit justement le film de Jean-Pierre Limosin diffusé le 19 mai sur Arte.